Nous avons effectué une refonte du module de traitement. Au niveau graphique, le rendu est légèrement différent après la montée en version vers les frameworks Vue / Vuetify 3. Les plugins ont été renommés pour avoir des noms plus compréhensibles quant à leur fonction.

Tout comme les jeux de données, les visualisations ou les portails, les traitements sont maintenant configurables par département. Le module de planification supporte maintenant un tableau de règles plutôt qu'une seule : on peut, par exemple, programmer un import de fichier deux fois par jour à 9h et 18h.

Enfin, la configuration du plugin d'import par API a été revue : la transformée du JSON vers des données tabulaires est plus facile et plus puissante, il est possible de forer en profondeur dans le JSON autant que l'on veut pour obtenir une vue à plat des données.

Le cœur de notre plateforme, Data Fair, évolue constamment ; voici les dernières mises à jour que nous avons effectuées :

Le workflow de création des jeux de données a légèrement été revu, et il est maintenant possible d'utiliser un schéma sur un jeu de données fichier, ce qui permet d'appliquer plus facilement des contraintes issues d'un schéma de données. Lors d'un changement de propriétaire pour un jeu de données ou une application, la plupart des permissions sont maintenant conservées. Un jeu de données public le restera juste après le changement de propriétaire et il n'y a plus de mise à jour de permissions à faire.

Le journal des jeux de données a été revu, en particulier, on voit maintenant des informations sur le passage du mode brouillon. En ce qui concerne les jeux de données éditables, les opérations unitaires de création, mise à jour et suppression de ligne sont maintenant prises en compte immédiatement, ce qui améliore grandement la réactivité des applications de saisie.

Enfin, nous avons ajouté de nouveaux concepts, dont un qui permet de définir un compte sur la plateforme. Il est maintenant possible de créer des jeux virtuels qui utilisent ce concept pour mettre en oeuvre des jeux de données dont le contenu dépend des groupes auquels sont rattachés les utilisateurs !

Les deux applications peuvent maintenant communiquer grâce à des filtres communs lorsqu'elles utilisent le même dataset. Les paramètres se propagent entre les deux visualisations, elles réagissent donc l’une par rapport à l’autre : quand on sélectionne un élément sur liste et fiches, la carte s’adapte (par exemple, si on sélectionne une fiche, l’icône de localisation correspondante est mise en évidence) ; à l’inverse, quand on zoome sur la carte, la liste s’adapte (le nombre de fiches correspond au nombre d’icônes de localisation affichées sur la zone sélectionnée). Vous pouvez visualiser un exemple de résultat sur cette carte des résultats des contrôles sanitaires Alim’Confiance.

Cet assemblage d’applications est très facile à configurer dans une page de contenu à l’aide des blocs de création, il suffit d'activer la synchronisation d'URL. Nous prévoyons de rendre d'autres visualisations compatibles avec cette approche, comme les graphiques ou les diagrammes.

L'application Infos territoires permet d'obtenir des informations de plusieurs sources de données sur un territoire délimité par des contours.

Il est maintenant possible de choisir le tracé du territoire dans une liste prédéfinie (comme les contours d’une commune) ou grâce à des données chargées (les contours des bureaux de vote d’un territoire, par exemple). Une fois les contours sélectionnés, on peut projeter des indicateurs sur la carte depuis une ou plusieurs sources de données. Ces indicateurs peuvent être mis en oeuvre sous forme de remplissage de couleurs (correspondant à des ensembles de valeurs ou calculés sur intervalles) ou obtenus au clic avec une fiche de détails. Les fiches de détails peuvent afficher certains champs, inclure une vue tabulaire ou une visualisation de données, comme sur cette carte des comptes des ensembles intercommunaux.

Cette refonte, en plus des améliorations apportées récemment à l'atelier cartographique, va permettre de déprécier l'application géo shapes.